L’intelligence artificielle dans
les métiers de la communication :
une journée de réflexion

Qu’est-ce qu’une intelligence artificielle générative ? À quoi peut-elle servir ? Quelles sont ses limites ? Autant de questions auxquelles professionnels de la communication et enseignants ont essayé de répondre lors d’une journée de partage et de réflexion, organisée par la Haute École de la Province de Liège (HEPL), la Haute École Louvain en Hainaut (HELHa), la Haute École Condorcet et l’Institut Supérieur de Formation Sociale et de Communication de Bruxelles (ISFSC) à la HELHa à Mons.

Les établissements d’études supérieures sont régulièrement soumis à des évaluations par l’Agence pour l’évaluation de la qualité de l’enseignement supérieur (AEQES). C’est dans ce contexte que les Bacheliers en communication des Hautes Écoles partenaires ont uni leurs forces pour réfléchir ensemble à la perméabilité entre les études, l’activité professionnelle et l’utilisation devenue inévitable de l’intelligence artificielle dans le monde actuel.

La matinée s’est concentrée sur différents témoignages : Sébastien Place (Microsoft), spécialiste en éducation numérique ; Florence Delvaux et Jimmy Tanghe, professionnels des métiers de la communication, ou encore Xavier Lambert (RTBF) et Philippe Laloux (Le Soir), qui utilisent quotidiennement l’IA

L’après-midi a quant à elle été placée sous le signe de l’échange entre professionnels et enseignants, notamment de la HEPL, à propos de l’intégration de l’IA dans les pratiques pédagogiques liées aux Bacheliers en communication.

Cette journée a permis de comprendre ceci : l’intelligence artificielle est devenue inévitable dans les pratiques professionnelles du domaine de la communication. Le défi des enseignants sera donc de former les travailleurs de demain à l’IA, mais aussi de poser les balises de son utilisation et de développer l’esprit critique des étudiants à ce sujet.